Le déclenchement de la guerre éloigne le peintre de sa famille. Ajourné lors du conseil de révision de 1891 pour faiblesse de constitution, il fut affecté l'année suivante au service auxilliaire. Reconnu apte au service armé en avril 1915, il rejoint la territoriale de Langres puis en 1916, il est affecté à la gendarmerie comme gendarme auxilliaire, et séjourne à ce titre en haute savoie. Il profite de ce séjour en montagne pourbrosser des études représentant le village ou des paysages bucoliques.
Au cours de cette guerre, il perd son beau-fils Emile Journet et son frère ainé |